Mais qui est Charles Lefort ?

Pour comprendre Charles Lefort, il faut d'abord comprendre son parcours. Né en 1987, d'une rencontre torride entre Michael Jordan et une danseuse de ballet russe, Charles connu une enfance difficile dans les bas-fonds de l'Île-de-France.

C'est là, dans les rues désertes de Saint-Nom-La-Bretèche, que Charles eu son premier contact avec une des deux grandes passions de sa vie en apercevant un clip de Chris Brown sur la télévision d'un voisin. La fluidité des mouvements, la grâce inhérente à ce danseur fantastique bouleversèrent la vie (et le coeur) du jeune homme qui découvrait son corps. Son sang ne fit qu'un tour : il ferait une carrière de danseur/chanteur.

S'ensuit une longue période d'apprentissage pendant laquelle Charles se consacra à l'étude des grands maîtres du domaine, comme Alliage, Les Musclés ou encore les World's Apart. Au bout de longs mois d'entraînement assidus ce fut, enfin, la consécration : le casting Kiabi/3 Suisses.

Ce blog n'est qu'un humble hommage aux efforts, anecdotes et passions qui ont meublé la vie de ce grand homme qu'est Charles Lefort.

lundi 30 mars 2009

Saint-Nom-La Bretèche

Quatre Hameaux pour un Village

La Commune de Saint-Nom-la-Bretèche est formée à l'origine de quatre hameaux : Saint-Nom, La Bretèche, Valmartin et La Tuilerie Bignon. S'y est ajouté, fin XXème siècle, un cinquième hameau constitué d'une partie du Vallon de Chavenay

La Ferme de Saint-Nom, donnée par un seigneur de P.oissy aux moines des Vaux-de-Cernay en 1228, a bénéficié de nombreuses donations. Parcelle après parcelle, les moines cisterciens ont fait de ce domaine agricole une ferme modèle aux bâtiments ordonnés autour d'une cour intérieure.

Vendue comme bien national à la Révolution, elle a été profondément remaniée aux XVIIème et XIXème siècles ; elle est transformée aujourd'hui en logements. Seul son nom, inscrit sur le porche, en rappelle le souvenir.
Le Château de la Bretèche (propriété privée), fief de la famille de Pomereu pendant plus de deux siècles, sera vendu au roi Louis XIV en 1700, pour le Comte de Toulouse (fils légitimé du roi et de Madame de Montespan) qui y mettra ses équipages de chasse. De nombreux seigneurs châtelains s'y sont ensuite succédés, dont Jean-Pierre Richard, père du peintre et graveur Jean-Claude Richard, “Abbé de Saint- Non”, mécène de Fragonard.
La Tuilerie-Bignon, elle aussi enclavée dans le grand parc de Versailles, est le cadre de l'un des plus prestigieux golfs français, de renommée internationale.
L'église, à l'origine simple bâtiment de la grange dimière de la ferme de Saint-Nom, est défendue par une tour de guet dès le XIIème siècle. Agrandie, ruinée, remaniée à plusieurs reprises, elle a été récemment restaurée.
La Ferme de Valmartin était le siège d'une seigneurie jusqu'en 1600 lors de sa vente aux religieuses du couvent royal des Dames de Poissy. Transformée en ferme, elle abritait à la fin du XVIIIème siècle un élevage de moutons Mérinos. Elle fut aussi vendue comme bien national à la Révolution.
L'antique forêt de chênes n'est plus “forêt de Cruye” mais devient “forêt de Marly” et couvre un tiers de la commune.

Démographie

L’évolution démographique sur cinq siècles et demi à Saint-Nom-la-Bretèche, marque une croissance continue de la population jusque vers 1800, suivie d’une diminution constante au XIXème siècle, pour atteindre son plus bas niveau dans la période 1901 à 1921. Elle stagne alors autour de 620 habitants mais amorce, à la veille de la première guerre mondiale, une éphémère remontée, allant jusqu’à 649 âmes en 1911. Ce n’est qu’après la seconde guerre mondiale que la population du village prendra son essor, et tout particulièrement depuis 1970, passant de 1000 à aujourd’hui 5000 résidants.
Les origines géographiques
Fin XIXème et début XXème siècle, l’immigration est essentiellement bretonne, mais aussi dans une moindre mesure en provenance de la Beauce, du Nord-Pas de Calais et de Belgique. Bien qu’elle augmente de 1906 à 1921, elle ne compense pas les départs du village. Si l’activité principale reste l’agriculture, l’évolution des techniques favorise l’apparition de nouveaux métiers qui s’exercent peu en milieu rural. Les nouveaux arrivants viennent d’une cinquantaine de départements (et de quatre ou cinq pays étrangers), soit plus de deux cents communes françaises dont seulement une soixantaine dans l’ancienne Seine-et-Oise. Le rayonnement de Saint-Nom-la-Bretèche est déjà grand et porte loin !
Quant à la mobilité de nos anciens, on peut s’en faire une idée en remarquant que seul un habitant sur dix est recensé sans interruption dans la commune au long de ces vingt années.
Aujourd'hui, la proximité de Paris, de La Défense, de Saint-Quentin-en-Yvelines et du Lycée Internationnal de Saint-Germain-en-Laye attire nombre de résidants étrangers, venus pour le compte de leur entreprise, en mission temporaire dans notre pays.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire