Mais qui est Charles Lefort ?

Pour comprendre Charles Lefort, il faut d'abord comprendre son parcours. Né en 1987, d'une rencontre torride entre Michael Jordan et une danseuse de ballet russe, Charles connu une enfance difficile dans les bas-fonds de l'Île-de-France.

C'est là, dans les rues désertes de Saint-Nom-La-Bretèche, que Charles eu son premier contact avec une des deux grandes passions de sa vie en apercevant un clip de Chris Brown sur la télévision d'un voisin. La fluidité des mouvements, la grâce inhérente à ce danseur fantastique bouleversèrent la vie (et le coeur) du jeune homme qui découvrait son corps. Son sang ne fit qu'un tour : il ferait une carrière de danseur/chanteur.

S'ensuit une longue période d'apprentissage pendant laquelle Charles se consacra à l'étude des grands maîtres du domaine, comme Alliage, Les Musclés ou encore les World's Apart. Au bout de longs mois d'entraînement assidus ce fut, enfin, la consécration : le casting Kiabi/3 Suisses.

Ce blog n'est qu'un humble hommage aux efforts, anecdotes et passions qui ont meublé la vie de ce grand homme qu'est Charles Lefort.

mercredi 1 avril 2009

Le box office de Charles

Même si Charles est un homme, il ne faut pas lui demander de choisir les films car ses goûts en matière cinématographique laisse à désirer !
Par exemple, ses coups de cœur 2009 sont par exemple Twilight ou Ce que veulent les hommes...


Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville pluvieuse dans l'État de Washington, pour vivre avec son père. Elle s'attend à ce que sa nouvelle vie soit aussi ennuyeuse que la ville elle-même. Or, au lycée, elle est terriblement intriguée par le comportement d'une étrange fratrie, deux filles et trois garçons. Bella tombe follement amoureuse de l'un d'eux, Edward Cullen. Une relation sensuelle et dangereuse commence alors entre les deux jeunes gens : lorsque Isabella comprend que Edward est un vampire, il est déjà trop tard.

Twilight est une romance qui a su séduire le cœur tendre de notre cher ami !


Ce que pensent les hommes est une réjouissante comédie romantique qui dresse un portrait provocateur, hilarant et libérateur de l'incompréhension entre hommes et femmes. Tandis qu'un groupe de jeunes femmes brillantes, originales et extrêmement déterminées s'efforcent de déchiffrer le langage amoureux, elles nous entraînent dans une réjouissante quête éperdue du grand amour...
Une chose reste certaine : s'il ne vous appelle pas, s'il ne couche pas avec vous, s'il est marié à quelqu'un d'autre ou s'il couche avec une autre... il y a de grandes chances qu'il ne s'intéresse pas à vous !

Malgré des critiques désastreuses sur ce film c'est le film préféré de Charles...

lundi 30 mars 2009

Les grands basketteurs

Dight Howard

Dwight David Howard est un joueur américain de basket-ball né le 8 décembre 1985 à Atlanta, Géorgie. Il mesure 2,11 mètres et pèse environ 120 kilogrammes. Il joue au poste de pivot pour le Orlando Magic en NBA.

On notera une similitude dans les styles de jeux de Lefort et Howard, principalement grâce à leur fantastique détente sèche (1m) qui leur permet les dunks les plus fous. La sélection de Charles pour le court-métrage "Kobe's new protégé" n'est donc pas un hasard. Il y est d'ailleurs comparé à Howard dans certains passages.




LeBron James


LeBron Raymone James dit LeBron James (né le 30 décembre 1984 à Akron dans l'Ohio), est un joueur de basket-ball américain évoluant dans le club NBA des Cleveland Cavaliers. Il mesure 2m03. Il a été surnommé King James et The Chosen One (« L'Elu »).

LeBron James fait partie de la liste des joueurs amenés à défendre les couleurs des États-Unis dans les compétitions internationales. Il a ainsi participé aux jeux Olympiques de 2004 à Athènes, où les Américains remportèrent la médaille de bronze.

Lors des derniers championnats du monde, au Japon, il a quelque peu déçu, éclipsé par Carmelo Anthony et Dwyane Wade et son équipe termina une nouvelle fois à la troisième place de la compétition, ce qui valut à James le surnom de « LeBronze James »

Ses séries

- Hartley, coeurs à vif -

Cette série met en scène les joies et les peines des élèves de Hartley High, puis de Hartley Heights, deux lycées situés dans un quartier multiracial de Sydney. A noter la présence de Dominic Purcell (Todd), le Lincoln Burrows de Prison Break.

Drazic (Callan Mulvey) reste la méga-star de cette série qui aura connu un très gros succès partout dans le monde. Malheureusement son talent ne s'est pas exprimé dans d'autres succès. Callan Mulvey est un des acteurs favoris de Charles Lefort, qui a été bouleversé par ses performances tout au long de la série.


- Deux flics à Miami (Miami Vice) -

Miami, c'est d'un côté soleil, plage et fête, mais de l'autre, c'est drogue, corruption et autres trafics. Sonny et Ricardo sont deux policiers bien décidés à faire règner la justice dans cette ville. L'un vit sur un yacht et conduit une Ferrari, l'autre est venu de New York pour retrouver l'assassin de son frère.
Cette série met en scène Sonny Crockett et Ricardo Tubbs, deux policiers de la brigade des stupéfiants de Miami agissant le plus souvent en civil.
Cette série illustre parfaitement l'amour de Charles pour Miami la magnifique.

- Alerte à Malibu (Baywatch) -

Cette série, immortalisée par l'image de jolies jeunes femmes en maillot de bain rouge courant au ralenti sur la plage, met en scène les mésaventures de la brigade de sauvetage du comté de Los Angeles (L.A. County Beach Patrol). Autour du Lieutenant Mitch Buchannon, une dizaine de sauveteurs doit faire face chaque jour aux dangers de la plage, tout en composant avec leur vie personnelle.

Le succès criant de cette série-culte des années 90 a inspiré les achats de maillots de bain rouge de Charles, qui profite des journées ensoleillées pour parfaire son bronzage (et son crawl) devant les filles de Miami.

Saint-Nom-La Bretèche

Quatre Hameaux pour un Village

La Commune de Saint-Nom-la-Bretèche est formée à l'origine de quatre hameaux : Saint-Nom, La Bretèche, Valmartin et La Tuilerie Bignon. S'y est ajouté, fin XXème siècle, un cinquième hameau constitué d'une partie du Vallon de Chavenay

La Ferme de Saint-Nom, donnée par un seigneur de P.oissy aux moines des Vaux-de-Cernay en 1228, a bénéficié de nombreuses donations. Parcelle après parcelle, les moines cisterciens ont fait de ce domaine agricole une ferme modèle aux bâtiments ordonnés autour d'une cour intérieure.

Vendue comme bien national à la Révolution, elle a été profondément remaniée aux XVIIème et XIXème siècles ; elle est transformée aujourd'hui en logements. Seul son nom, inscrit sur le porche, en rappelle le souvenir.
Le Château de la Bretèche (propriété privée), fief de la famille de Pomereu pendant plus de deux siècles, sera vendu au roi Louis XIV en 1700, pour le Comte de Toulouse (fils légitimé du roi et de Madame de Montespan) qui y mettra ses équipages de chasse. De nombreux seigneurs châtelains s'y sont ensuite succédés, dont Jean-Pierre Richard, père du peintre et graveur Jean-Claude Richard, “Abbé de Saint- Non”, mécène de Fragonard.
La Tuilerie-Bignon, elle aussi enclavée dans le grand parc de Versailles, est le cadre de l'un des plus prestigieux golfs français, de renommée internationale.
L'église, à l'origine simple bâtiment de la grange dimière de la ferme de Saint-Nom, est défendue par une tour de guet dès le XIIème siècle. Agrandie, ruinée, remaniée à plusieurs reprises, elle a été récemment restaurée.
La Ferme de Valmartin était le siège d'une seigneurie jusqu'en 1600 lors de sa vente aux religieuses du couvent royal des Dames de Poissy. Transformée en ferme, elle abritait à la fin du XVIIIème siècle un élevage de moutons Mérinos. Elle fut aussi vendue comme bien national à la Révolution.
L'antique forêt de chênes n'est plus “forêt de Cruye” mais devient “forêt de Marly” et couvre un tiers de la commune.

Démographie

L’évolution démographique sur cinq siècles et demi à Saint-Nom-la-Bretèche, marque une croissance continue de la population jusque vers 1800, suivie d’une diminution constante au XIXème siècle, pour atteindre son plus bas niveau dans la période 1901 à 1921. Elle stagne alors autour de 620 habitants mais amorce, à la veille de la première guerre mondiale, une éphémère remontée, allant jusqu’à 649 âmes en 1911. Ce n’est qu’après la seconde guerre mondiale que la population du village prendra son essor, et tout particulièrement depuis 1970, passant de 1000 à aujourd’hui 5000 résidants.
Les origines géographiques
Fin XIXème et début XXème siècle, l’immigration est essentiellement bretonne, mais aussi dans une moindre mesure en provenance de la Beauce, du Nord-Pas de Calais et de Belgique. Bien qu’elle augmente de 1906 à 1921, elle ne compense pas les départs du village. Si l’activité principale reste l’agriculture, l’évolution des techniques favorise l’apparition de nouveaux métiers qui s’exercent peu en milieu rural. Les nouveaux arrivants viennent d’une cinquantaine de départements (et de quatre ou cinq pays étrangers), soit plus de deux cents communes françaises dont seulement une soixantaine dans l’ancienne Seine-et-Oise. Le rayonnement de Saint-Nom-la-Bretèche est déjà grand et porte loin !
Quant à la mobilité de nos anciens, on peut s’en faire une idée en remarquant que seul un habitant sur dix est recensé sans interruption dans la commune au long de ces vingt années.
Aujourd'hui, la proximité de Paris, de La Défense, de Saint-Quentin-en-Yvelines et du Lycée Internationnal de Saint-Germain-en-Laye attire nombre de résidants étrangers, venus pour le compte de leur entreprise, en mission temporaire dans notre pays.